««« é­pi »»»

« épis » ou « épi » dans :
Magny
1553
~ Entre les flots…
Du Bellay
1558
~ De fleurs, d’épis…
1569
~ Comme de fleurs…
Baïf
1573
~ [On ne compte de nuit…
Buttet
1575
~ On ne voit point…
~ Le printemps ver­doyant…
~ Jamais ne vint…
de Brach
1576
~ [Mais qui pour­rait comp­ter…
Robert Gar­nier
1579
~ [Que les rocs Ca­pha­rés…
La Jessée
1583
~ Que toutes nos fo­rêts…
~ Que de grâces, d’attraits…
Chassi­gnet
1594
~ Comme un pépin de noix…
Expil­ly
1596
~ Autant que l’Océan…
Mont­chres­tien
1601
~ [Aussi qui peut nom­brer…
Angot
1603
~ Ni l’Hiver refroi­di…
Claude Gar­nier
1609
~ Qui peut nom­brer…

~#~














 
 

«««  #  »»»

Espi. Doré, gresle, bar­bu ou bar­be­lu, long, fru­men­teus, pliant, frai­zé, ge­mi, blond ou blon­dis­sant, cres­té, ioïeus, on­doiant, he­ris­sé, nour­ri­cier, foar­reus, l’hon­neur de la plaine, fleu­ri ou fleu­ris­sant, droit, pail­leus.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 94v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_195]
(texte original).

[Couron­né d’espics. Esté.]

[Port’espi. Iuraie.]

[Voir aussi blé, ia­uelle.]