NI
de son chef
le trésor
crêpelu,
Ni de sa joue
une et l’autre fossette,
Ni l’embonpoint de sa
gorge
grassette,
Ni son menton
rondement
fosselu,
Ni son
bel
œil
que les miens ont voulu
Choisir pour prince
à mon âme
sujette,
Ni son
beau
sein,
dont l’Archerot
me jette
Le plus aigu de son trait
émoulu,
Ni de son
ris
les milliers de Charites,
Ni ses beautés
en mille cœurs
écrites
N’ont esclavé ma
libre
affection.
Seul son
esprit,
où tout le ciel
abonde,
Et les torrents
de sa
douce
faconde
Me font mourir pour sa
perfection.
NI
de son chef
le trésor
crêpelu,
Ni de sa joue
une et l’autre fossette,
Ni l’embonpoint de sa
gorge
grassette,
Ni son menton
rondement
fosselu,
Ni son
bel
œil
que les miens ont voulu
Choisir pour prince
à mon âme
sujette,
Ni son
beau
sein,
dont l’Archerot
me jette
Le plus aigu de son trait
émoulu,
Ni de son
ris
les milliers de Charites,
Ni ses beautés
en mille cœurs
écrites
N’ont esclavé ma
libre
affection.
Seul son
esprit,
où tout le ciel
abonde,
Et les torrents
de sa
douce
faconde
Me font mourir pour sa
perfection.
En ligne le
11/10/12.
Dernière révision le 31/08/23.