Ce ne fut onc
l’accord
de cette voix
Qui tient des Dieux la
liberté
captive,
Ce ne fut onc
cette beauté
naïve
Domptant tous
cœurs
sous le joug
de ses lois,
Ce ne fut onc
l’adresse
de ces doigts,
Ni le vermeil
de cette glace
vive,
Cette douceur
si chastement
lascive,
Ni ces Rubis,
ni ces zéphyres
cois,
Qui ma
raison,
ma franchise,
et mon âme
Mielleusement esclavèrent, ma
Dame,
Au Paradis
de ta
douce
prison,
C’est ton
esprit
céleste,
et
admirable,
Qui me rendit heureux et misérable
Par l’avaler d’une
saine
poison.
Ce
ne fut onc l’accord
de cette voix
Qui tient des
Dieux la
liberté
captive,
Ce ne fut onc
cette beauté
naïve
Domptant tous
cœurs
sous le joug
de ses lois,
Ce
ne fut onc l’adresse
de ces doigts,
Ni le
vermeil
de cette glace
vive,
Cette
douceur
si chastement
lascive,
Ni ces
Rubis,
ni ces zéphyres
cois,
Qui
ma raison,
ma franchise,
et mon âme
Mielleusement
esclavèrent,
ma Dame,
Au
Paradis de ta
douce
prison,
C’est
ton esprit
céleste, et
admirable,
Qui me rendit heureux et
misérable
Par l’avaler
d’une
saine
poison.
En ligne le
31/08/23.
Dernière révision le 04/11/24.