NI
de son chef le trésor crêpelu,
Ni de sa joue une et l’autre fossette,
Ni l’embonpoint de sa gorge grassette,
Ni son menton rondement fosselu,
Ni son bel œil que les miens
ont voulu
Choisir pour prince à mon âme sujette,
Ni son beau sein, dont l’Archerot me jette
Le plus aigu de son trait émoulu,
Ni de son ris les milliers de Charites,
Ni ses beautés en mile cœurs écrites
N’ont esclavé ma libre affection.
Seul son esprit, où tout le
ciel abonde,
Et les torrents de sa douce faconde
Me font mourir pour sa perfection.
NI
de son chef le trésor crêpelu,
Ni de son ris l’une
et l’autre fossette,
Ni le repli de sa gorge
grassette,
Ni son menton rondement fosselu,
Ni son bel œil que les miens
ont voulu
Choisir pour prince à mon âme sujette,
Ni son beau sein, dont l’Archerot me jette
Le plus aigu de son trait émoulu,
Ni de son front
les milliers de Charites,
Ni ses beautés en mille cœurs écrites
N’ont asservi
ma libre affection.
Seul son esprit, où tout le
ciel abonde,
Seule sa douce et sa grave
faconde,
M’a fait mourir
pour sa perfection.
NI
de son chef le trésor crêpelu,
Ni de son ris l’une
et l’autre fossette,
Ni le repli de sa gorge
grassette,
Ni son menton rondement fosselu,
Ni son bel œil que les miens
ont voulu
Choisir pour prince à mon âme sujette,
Ni son beau sein, dont l’Archerot me jette
Le plus aigu de son trait émoulu,
Ni de son
corps
les milliers de Charites,
Ni ses beautés en mille cœurs écrites,
N’ont asservi
ma libre affection.
Seul son esprit, où tout le
ciel abonde,
Seule sa douce et sa grave
faconde,
M’ont
fait mourir pour sa perfection.
NI
de son chef le trésor crêpelu,
Ni de son ris l’une
et l’autre fossette,
Ni le repli de sa gorge
grassette,
Ni son menton rondement fosselu,
Ni son bel œil que les miens
ont voulu
Choisir pour prince à mon âme sujette,
Ni son beau sein, dont l’Archerot me jette
Le plus aigu de son trait émoulu,
Ni de son corps
les milliers de charites,
Ni ses beautés en mille cœurs écrites,
N’ont asservi
ma libre affection.
Seul son esprit, où tout le
ciel abonde,
Seule sa douce et sa grave
faconde,
Me font mourir
pour leur perfection.
NI
de son chef le trésor crêpelu,
Ni de son
ris l’une
et l’autre fossette,
Ni le
repli de sa gorge grassette,
Ni son menton rondement
fosselu,
Ni
son bel œil que les miens ont voulu
Choisir pour prince
à mon âme sujette,
Ni son beau sein, dont
l’Archerot me
jette
Le plus aigu de son trait
émoulu,
Ni
de son front
les milliers de Charites,
Ni ses beautés
en mille cœurs écrites
N’ont
asservi
ma libre affection.
Seul
son esprit, où tout le ciel abonde,
Seule
sa douce et sa grave faconde,
M’a
fait mourir pour sa perfection.
NI
de son chef le trésor crêpelu,
Ni de son ris l’une
et l’autre fossette,
Ni le repli de sa gorge
grassette,
Ni son menton rondement fosselu,
Ni son bel œil que les miens
ont voulu
Choisir pour prince à mon âme sujette,
Ni son beau sein, dont l’Archerot me jette
Le plus aigu de son trait émoulu,
Ni de son
corps
les milliers de Charites,
Ni ses beautés en mille cœurs écrites,
N’ont asservi
ma libre affection.
Seul son esprit, où tout le
ciel abonde,
Seule sa douce et sa grave
faconde,
M’ont
fait mourir pour sa perfection.
NI
de son chef le trésor crêpelu,
Ni de son ris l’une
et l’autre fossette,
Ni le repli de sa gorge
grassette,
Ni son menton rondement fosselu,
Ni son bel œil que les miens
ont voulu
Choisir pour prince à mon âme sujette,
Ni son beau sein, dont l’Archerot me jette
Le plus aigu de son trait émoulu,
Ni de son corps
les milliers de charites,
Ni ses beautés en mille cœurs écrites,
N’ont asservi
ma libre affection.
Seul son esprit, où tout le
ciel abonde,
Seule sa douce et sa grave
faconde,
Me font mourir
pour leur perfection.
NI
de son chef le trésor crêpelu,
Ni de son ris l’une
et l’autre fossette,
Ni le repli de sa gorge
grassette,
Ni son menton rondement fosselu,
Ni son bel œil que les miens
ont voulu
Choisir pour prince à mon âme sujette,
Ni son beau sein dont l’Archerot me jette
Le plus aigu de son trait émoulu,
Ni son
beau corps
le logis des Charites,
Ni ses beautés en mille cœurs écrites,
N’ont asservi
ma jeune affection.
Seul son esprit miracle
de notre âge,
Qui eut du Ciel tous les
dons
en partage,
Me fait
mourir pour sa perfection.
textes
modernisés
[R]
En ligne le 20/06/13.
Dernière révision le 31/08/23.