Sonnet sur le trépas de
Monsieur d’Estrées
grand Maître de
l’artillerie.
EStrées
ne requiert Lysippe, Apelle, Homère,
Pour engraver, dépeindre, ajourner
hautement
La
grandeur, la
beauté, le
bon
entendement,
De son
cœur, de
son
corps, et de
son âme
entière,
Qui
s’apparut si brave,
aimable,
Justicière,
Sans
fiction,
sans
fard,
et
sans
déguisement,
Que
l’honneur, que
l’Amour, que
Dieu
du firmament
L’admira, l’adora, lui
montra sa lumière.
Si bien que ce guerrier
(Aigle
des
preux
François)
A servi fortuné loyalement six
Rois,
Dont le feu
glorieux jusques au Ciel
s’allume.
Ce
passe-Phaéton
dompta les foudroyants,
Sa race
illustre
aussi soleille de tout
temps,
Il ne lui faut donc point
burin, pinceau, ni plume.
Sonnet sur le trépas de
Monsieur d’Estrées
grand Maître de
l’artillerie.
EStrées
ne requiert Lysippe, Apelle, Homère,
Pour engraver, dépeindre, ajourner
hautement
La
grandeur,
la
beauté, le
bon
entendement,
De son
cœur, de
son
corps,
et de son
âme
entière,
Qui
s’apparut si brave,
aimable,
Justicière,
Sans
fiction,
sans
fard,
et
sans
déguisement,
Que
l’honneur, que
l’Amour, que
Dieu
du firmament
L’admira, l’adora, lui
montra sa lumière.
Si bien que ce guerrier
(Aigle
des
preux
François)
A servi fortuné loyalement six
Rois,
Dont le feu
glorieux jusques au Ciel
s’allume.
Ce
passe-Phaéton
dompta les foudroyants,
Sa race
illustre
aussi soleille de tout
temps,
Il ne lui faut donc point
burin,
pinceau, ni plume.
En ligne le
05/03/08.
Dernière révision le 29/06/21.