Quand le
clair
ciel
sera l’obscure
terre,
Quand le
chaud
feu
les ondes
de la mer,
Quand l’ample
mer
cessera d’écumer,
Quand on saura les monstres
qu’elle enserre,
Quand les
fiers
vents
ne se feront plus guerre,
Quand les
hauts
monts
plains
on verra nommer,
Quand les
verts
bois
cesseront de ramer,
Quand l’été
chaud
n’aura point de
tonnerre,
Quand plus au
ciel
les astres
n’auront flamme,
Quand l’âme
corps,
et le corps
sera l’âme,
Quand notre main
arrêtera le temps,
Quand la
fortune
aura quelque constance,
Et quand Amour
n’aura plus de
puissance,
Adoncqu’ seront les
amoureux
contents.
Quand le
clair
ciel
sera l’obscure
terre,
Quand le
chaud
feu
les ondes
de la mer,
Quand l’ample
mer
cessera d’écumer,
Quand on saura les monstres
qu’elle enserre,
Quand les
fiers
vents
ne se feront plus guerre,
Quand les
hauts
monts
plains
on verra nommer,
Quand les
verts
bois
cesseront de ramer,
Quand l’été
chaud
n’aura point de
tonnerre,
Quand plus au
ciel
les astres
n’auront flamme,
Quand l’âme
corps,
et le corps
sera l’âme,
Quand notre main
arrêtera le temps,
Quand la
fortune
aura quelque constance,
Et quand Amour
n’aura plus de
puissance,
Adoncqu’ seront les
amoureux
contents.
En ligne le
02/11/08.
Dernière révision le 22/12/23.