On ne voit point par la
voûte
du ciel
Tant, tant, et tant, luire, et trembler
d’étoiles,
L’azur
marin
tant n’a de
blanches
voiles,
De peintes
fleurs
tant n’a la
mouche
à miel,
Tant n’est encor
d’aluine,
et de fiel,
Tant les buissons
n’ont de pointes
rebelles,
Que mon esprit
a d’atteintes
cruelles,
En corps
terrestre
hôte
célestiel,
Tant de
beaux
fruits
ne font rire
l’Automne,
L’été
cuisant
tant d’épis
ne moissonne,
Tant de
longs
jours
n’ont travaillé
l’aisseulessieu,
axe de la terre,
Que j’ai de
maux,
de travaux,
et d’encombre,
Que de beautés
un innombrable
nombre
Vient m’assaillir, las et je suis tout seul.
On ne voit point par la
voûte
du ciel
Tant, tant, et tant, luire, et trembler
d’étoiles,
L’azur
marin
tant n’a de
blanches
voiles,
De peintes
fleurs
tant n’a la
mouche
à miel,
Tant n’est encor
d’aluine,
et de fiel,
Tant les buissons
n’ont de pointes
rebelles,
Que mon esprit
a d’atteintes
cruelles,
En corps
terrestre
hôte
célestiel,
Tant de
beaux
fruits
ne font rire
l’Automne,
L’été
cuisant
tant d’épis
ne moissonne,
Tant de
longs
jours
n’ont travaillé
l’aisseulessieu,
axe de la terre,
Que j’ai de
maux,
de travaux,
et d’encombre,
Que de beautés
un innombrable
nombre
Vient m’assaillir, las et je suis tout seul.
En ligne le
13/03/20.
Dernière révision le 02/04/23.