[…]
Je suis ton
serviteur,
Syringue, et en mépris
Le service
ne mets de ton
Pan,
que le prix
De ta
grande
beauté,
qui est toute
céleste,
Esclave tant que rien de sien plus ne lui reste.
Tant d’écaillés
poissons
ne nagent sous les eaux,
Par l’espace
de l’air
ne volent tant
d’oiseaux,
La terre
ne nourrit tant de bêtes
vivantes,
La sphère
ne soutient tant
d’étoiles
luisantes,
Les sablons
si épais
aux rivages
ne sont,
Les rameaux
aux forêts
de feuillage
tant n’ont,
Comme de passions
je sens dedans mon âme
Par toi, dont le secours
maintenant je réclame.
[…]
[…]
Je suis ton
serviteur, Syringue,
et en mépris
Le service
ne mets de ton
Pan,
que le prix
De ta
grande
beauté, qui est toute
céleste,
Esclave tant que rien de sien plus ne lui reste.
Tant d’écaillés
poissons
ne nagent sous les eaux,
Par l’espace
de l’air
ne volent tant d’oiseaux,
La terre
ne nourrit tant de bêtes
vivantes,
La sphère
ne soutient tant d’étoiles
luisantes,
Les sablons
si épais
aux rivages
ne sont,
Les rameaux
aux forêts
de feuillage
tant n’ont,
Comme de passions
je sens dedans mon âme
Par toi, dont le
secours
maintenant je réclame.
[…]
En ligne le
31/12/21.
Dernière révision le 20/06/24.