Quand
le clair ciel
sera l’obscure terre,
Quand
le chaud feu
les ondes de la mer,
Quand
l’ample mer
cessera d’écumer,
Quand
on saura les monstres
qu’elle enserre,
Quand
les fiers vents ne se
feront plus guerre,
Quand
les hauts monts
plains on verra nommer,
Quand
les verts bois
cesseront de ramer,
Quand
l’été chaud
n’aura point de tonnerre,
Quand
plus au ciel les astres
n’auront flamme,
Quand
l’âme
corps, et le corps
sera l’âme,
Quand
notre main arrêtera le temps,
Quand
la fortune aura quelque
constance,
Et
quand Amour
n’aura plus de puissance,
Adoncqu’ seront les
amoureux
contents.
Quand
le clair ciel
sera l’obscure terre,
Quand
le chaud feu
les ondes de la mer,
Quand
l’ample mer
cessera d’écumer,
Quand
on saura les monstres
qu’elle enserre,
Quand
les fiers vents ne se
feront plus guerre,
Quand
les hauts monts
plains on verra nommer,
Quand
les verts bois
cesseront de ramer,
Quand
l’été chaud
n’aura point de tonnerre,
Quand
plus au ciel les astres
n’auront flamme,
Quand
l’âme
corps, et le corps
sera l’âme,
Quand
notre main arrêtera le temps,
Quand
la fortune aura quelque
constance,
Et
quand Amour
n’aura plus de puissance,
Adoncqu’ seront les
amoureux
contents.
En ligne le 18/12/21.
Dernière révision le 22/12/23.