Le
martyre
infini
du Lapithe
Phlégye,
Du père
de Pélops
la faim
non assouvie,
Et du fils
de Japet
l’aigle
grand
et félon.
Le lacrymable
Styx,
le
bourbeux
Achéron,
Les
puantes
odeurs
de l’une et l’autre
harpie,
Du chien
triple-gosier
la cruelle
furie,
Bref tous les maux
qui sont au palais
de Pluton :
Me seraient à souffrir plus
doux, et désirables,
Que le
triste
récit des forfaits
misérables
Dont ton cœur
est tenté par ce
faux
garnement :
Hélas ! fuis pour ton
bien
ses chansons
blandissantes,
,,Car ce n’est
pas assez de vivre chastement,
,,Il faut brider
l’orgueil
des langues
médisantes.
LE feu, les couleuvreaux et le fouet d’Alecton,
Le
martyre
infini
du Lapithe
Phlégye,
Du père
de Pélops
la faim
non assouvie,
Et du fils
de Japet
l’aigle
grand
et félon.
Le lacrymable
Styx,
le
bourbeux
Achéron,
Les
puantes
odeurs
de l’une et l’autre
harpie,
Du chien
triple-gosier
la cruelle
furie,
Bref tous les maux
qui sont au palais
de Pluton :
Me seraient à souffrir plus
doux, et désirables,
Que le
triste
récit des forfaits
misérables
Dont ton cœur
est tenté par ce
faux
garnement :
Hélas ! fuis pour ton
bien
ses chansons
blandissantes,
,,Car ce n’est
pas assez de vivre chastement,
,,Il faut brider
l’orgueil
des langues
médisantes.
En ligne le
31/12/19.
Dernière révision le 02/02/22.