anaphore de
l’exclamatif
(vers 1-12)
Quelle
splendeur
éclate en son
bel
œil !
Ains en la forge
où mon âme
est
brûlante :
Quel or
éclaire en sa
tresse
volante !
Ainçois au rets
qui fait naître mon
deuil.
Quel
baume
coule et distille, à son
veuil,
De sa parole
en mes nerfs
distillante !
Mais de la source
où ma plai’
violente
Prend origine et me guide au
cercueil.
Ah ! quels
attraits !
Ah quelles beautés
saintes
Logent en elle ! ains des
cruautés
peintes
De mes tourments
pères de mes
soucis.
Je voudrais être et
Sisyphe
et Titye
Pour le moins
fier
de ces maux
adoucis,
Qui de leur
miel
enaigrissent ma
vie.
Quelle
splendeur
éclate en son
bel
œil !
Ains en la forge
où mon âme
est
brûlante :
Quel or
éclaire en sa
tresse
volante !
Ainçois au rets
qui fait naître mon
deuil.
Quel
baume
coule et distille, à son
veuil,
De sa parole
en mes nerfs
distillante !
Mais de la source
où ma plai’
violente
Prend origine et me guide au
cercueil.
Ah !
quels
attraits ! Ah quelles
beautés
saintes
Logent en elle ! ains des
cruautés
peintes
De mes tourments
pères de mes
soucis.
Je voudrais être et
Sisyphe
et Titye
Pour le moins
fier
de ces maux
adoucis,
Qui de leur
miel
enaigrissent ma
vie.
En ligne le
18/10/18.
Dernière révision le 26/05/23.