[…]
Plutôt seront haïs les
verdissants
herbages
Des
simplettes
brebis,
et des bêtes
sauvages
Les
arbreuses
forêts :
les poissons
dans les eaux
Cesseront de hanter, et dans
l’air
les oiseaux :
Plutôt que de mon
cœur
l’amour
que je te porte,
Pour y loger un autre, ô ma Francine, sorte.
[…]
Ces monts
m’en sont témoins,
et ces antres
cavés
En plus de mille endroits de ces
vers
engravés :
Les gardons
des connils
hanteront les tanières,
Et les connils
au lieu des gardons
les rivières,
Où se couche le
jour
le Soleil
lèvera,
À
l’heure
que Toinet Francine quittera.
[…]
[…]
Plutôt
seront haïs les verdissants
herbages
Des
simplettes
brebis,
et des bêtes
sauvages
Les
arbreuses
forêts : les
poissons
dans les eaux
Cesseront de hanter, et
dans l’air
les oiseaux :
Plutôt que de mon
cœur
l’amour
que je te porte,
Pour y loger un autre,
ô ma Francine,
sorte.
[…]
Ces
monts
m’en sont témoins,
et ces antres
cavés
En plus de mille endroits
de ces
vers
engravés :
Les
gardons
des connils
hanteront les tanières,
Et les
connils
au lieu des gardons
les rivières,
Où se couche le
jour
le Soleil lèvera,
À
l’heure
que Toinet
Francine quittera.
[…]
En ligne le
27/06/21.
Dernière révision le 28/11/24.