Éperlan. Blanc, argenté, net, menu, beau, délicieux, rivager, clair, sain, printanier.
Il y a deux sortes d’Éperlan, l’un est marin et de rivage, l’autre est de rivière. Ce poisson a une blancheur semblable à celle de la Perle, ayant la chair molle et friable, sentant aucunement la violette. On le pêche au commencement de l’Été, et au commencement d’Automne.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 94r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_194]
(texte modernisé).
[Voir aussi able ou ablette, alose, anguille, brème, brochet, carpe, chabot, gardon, hareng, lamie, lamproie, lotte, maquereau, meunier, morue, perche, plie, raie, rouget, roussette, saumon, seiche, truite, turbot, vairon, vandoise.]
Esperlan. Blanc, argenté, net, menu, beau, delitieus, riuager, clair, sain, printanier.
Il i a deux sortes d’Esperlan, l’vn est marin & de riuage, l’autre est de riuiere. Ce poisson à vne blancheur semblable à celle de la Perle, aiant la chair molle & friable, sentant aucunement la violette. On le pesche au commencement de l’Esté, & au commencement d’Autonne.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 94r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_194]
(texte original).
[Voir aussi able ou ablette, alose, anguille, brame, brochet, carpe, chabot, gardon, haren, lamie, lamproie, lote, maquereau, moruë, munier, perche, plie, raie, rouget, roussette, saulmon, seiche, truite, turbot, vandoise, veron.]
Liens
* On peut regarder en ligne sur Gallica un « portrait » de l’éperlan et lire « De l’éperlan », source du commentaire de La Porte, chapitre XVIII du livre « des poissons de rivière », p. 142 de la seconde partie de L’Histoire entière des Poissons, avec leurs portraits au naïf, de Guillaume Rondelet, publiée à Lyon en 1558.
Liens valides au 20/12/20.