Je chasse en
mer,
en l’air
je mets ma bâche,
De rets
je veux tous les vents
arrêter,
Je veux à
l’eau
faire le fer
porter,
À l’homme
nu
ses vêtements j’arrache.
Un
Éthiope
à dénoircir je tâche,
Dedans un crible eau
je pense emporter,
Un arbre
vieil
je pense replanter,
En l’eau
j’écris, un
homme
mort
je fâche.
J’apprends un
âne
à la guerre
courir,
Un huis
ouvert
je mets peine
d’ouvrir,
En lieu d’un homme
une souche
j’appelle :
Quand je mets
peine
à fléchir ta
rigueur,
Quand je te dis combien tu es cruelle
À cil de qui tu possèdes le
cœur.
Je chasse en
mer,
en l’air
je mets ma bâche,
De rets
je veux tous les vents
arrêter,
Je veux à
l’eau
faire le fer
porter,
À l’homme
nu
ses vêtements j’arrache.
Un
Éthiope
à dénoircir je tâche,
Dedans un crible eau
je pense emporter,
Un arbre
vieil
je pense replanter,
En l’eau
j’écris, un
homme
mort
je fâche.
J’apprends un
âne
à la guerre
courir,
Un huis
ouvert
je mets peine
d’ouvrir,
En lieu d’un homme
une souche
j’appelle :
Quand je mets
peine
à fléchir ta
rigueur,
Quand je te dis combien tu es cruelle
À cil de qui tu possèdes le
cœur.
En ligne le
18/05/14.
Dernière révision le 11/03/23.