Plutôt des dieux la
puissance
se borne,
Puissent plutôt
monstres
sur nous grêler,
Plutôt par
l’air
taureaux
et bœufs
voler,
Plutôt ce tout au
vieil
Chaos
se tourne,
Et le
conflit
des fiers
Géants
retourne,
Pour derechef aux hauts dieux s’égaler,
Plutôt encor puissent
pierres
parler,
Plutôt le ciel
tout au rebours contourne,
Puisse plutôt la
mort
nous saisir tous,
Puisse plutôt cette
machine
ronde
Virevolter ce que dessus, dessous :
Que dans mon
cœur
onc il y entre tare,
Ni que jamais mes esprits
je sépare
De la moitié qui tient mon petit
monde.
Plutôt des dieux la
puissance
se borne,
Puissent plutôt
monstres
sur nous grêler,
Plutôt par
l’air
taureaux
et bœufs
voler,
Plutôt ce tout au
vieil
Chaos
se tourne,
Et le
conflit
des fiers
Géants
retourne,
Pour derechef aux hauts dieux s’égaler,
Plutôt encor puissent
pierres
parler,
Plutôt le ciel
tout au rebours contourne,
Puisse plutôt la
mort
nous saisir tous,
Puisse plutôt cette
machine
ronde
Virevolter ce que dessus, dessous :
Que dans mon
cœur
onc il y entre tare,
Ni que jamais mes esprits
je sépare
De la moitié qui tient mon petit
monde.
En ligne le
07/07/07.
Dernière révision le 23/07/23.