Puisque je vois mes
pleurs
n’être que
songe,
Je ne veux plus que ton
œil,
ni ta grâce,
Ni cet amour
qui dans mon sang
se plonge,
Trouve dans moi dorénavant sa place.
Puisque le
feu
en amour
n’est que glace :
La glace,
feu :
puisque le bien nous ronge :
Le mal
est bien : puisque d’une disgrâce,
Le faux est vrai : le vrai n’est que
mensonge.
Puisque le franc est
serf,
le serf
délivre :
Le deuil,
plaisir :
et le plaisir,
détresse :
Puisque l’Amour
est à soi tout contraire :
Je ne veux plus dedans ce
Chaos
vivre,
Et si je veux, quittant toute
maîtresse,
Me rendre mien : mais je ne le puis faire.
Puisque je vois mes
pleurs
n’être
que songe,
Je ne veux plus que ton
œil,
ni ta grâce,
Ni cet amour
qui dans mon sang
se plonge,
Trouve dans moi dorénavant sa place.
Puisque le
feu
en amour
n’est que
glace :
La glace,
feu :
puisque le bien nous ronge :
Le mal
est bien : puisque d’une
disgrâce,
Le faux est vrai : le vrai n’est
que mensonge.
Puisque le franc est
serf,
le serf
délivre :
Le deuil,
plaisir :
et le plaisir,
détresse :
Puisque l’Amour
est à soi tout contraire :
Je ne veux plus dedans ce
Chaos
vivre,
Et si je veux, quittant
toute maîtresse,
Me rendre mien : mais je ne le puis faire.
En ligne le
26/01/08.
Dernière révision le 05/10/25.