Je
chasse en mer,
en l’air je
mets ma bâche,
De
rets je veux tous les
vents arrêter,
Je
veux à l’eau
faire le fer porter,
À
l’homme nu
ses vêtements j’arrache.
Un
Éthiope
à dénoircir je tâche,
Dedans
un crible eau je pense
emporter,
Un
arbre vieil je pense
replanter,
En
l’eau
j’écris, un
homme mort je
fâche.
J’apprends
un âne
à la guerre courir,
Un
huis ouvert je mets
peine d’ouvrir,
En
lieu d’un homme une souche
j’appelle :
Quand je mets
peine
à fléchir ta
rigueur,
Quand je te dis combien tu es cruelle
À cil de qui tu possèdes le
cœur.
Je
chasse en mer,
en l’air je
mets ma bâche,
De
rets je veux tous les
vents arrêter,
Je
veux à l’eau
faire le fer porter,
À
l’homme nu
ses vêtements j’arrache.
Un
Éthiope
à dénoircir je tâche,
Dedans
un crible eau je pense
emporter,
Un
arbre vieil je pense
replanter,
En
l’eau
j’écris, un
homme mort je
fâche.
J’apprends
un âne
à la guerre courir,
Un
huis ouvert je mets
peine d’ouvrir,
En
lieu d’un homme une souche
j’appelle :
Quand je mets
peine
à fléchir ta
rigueur,
Quand je te dis combien tu es cruelle
À cil de qui tu possèdes le
cœur.
En ligne le 11/03/23.
Dernière révision le 12/06/23.