disposition de la
corrélation
(vers 1-11 → 12-13)
Tant de
couleurs
le grand
arc ne varie
Contre le front
du Soleil
radieux,
Lorsque Junon,
par un temps
pluvieux,
Renverse l’eau
dont sa mère
est nourrie.
Ni
Jupiter
armant sa main
marrie
En tant d’éclairs
ne fait rougir les cieux,
Lorsqu’il punit d’un
foudre
audacieux
Les monts
d’Épire, ou
l’orgueil
de Carie.
Ni le
Soleil
ne rayonne si
beau,
Quand au matin
il nous montre un flambeau,
Pur,
net,
et clair,
comme je vis ma Dame
De
cent couleurs
son visage
accoutrer,
Flamber ses
yeux,
et claire se montrer,
Le premier jour
qu’elle ravit mon
âme.
Tant de
couleurs
le grand
arc ne varie
Contre le front
du Soleil
radieux,
Lorsque Junon,
par un temps
pluvieux,
Renverse l’eau
dont sa mère
est nourrie.
Ni
Jupiter
armant sa main
marrie
En tant d’éclairs
ne fait rougir les cieux,
Lorsqu’il punit d’un
foudre
audacieux
Les monts
d’Épire,
ou l’orgueil
de Carie.
Ni le
Soleil
ne rayonne si
beau,
Quand au matin
il nous montre un flambeau,
Pur,
net,
et clair,
comme je vis ma Dame
De
cent couleurs
son visage
accoutrer,
Flamber ses
yeux,
et claire se montrer,
Le premier jour
qu’elle ravit mon
âme.
En ligne le 08/12/21.
Dernière révision le 28/01/24.