Petit
nombril,
que mon penser
adore,
Non pas mon œil,
qui n’eut oncques ce
bien,
Nombril
de qui l’honneur
mérite bien,
Qu’une
grand’
ville
on lui bâtisse encore.
Signe
divin,
qui divinement ore
Retiens encor l’Androgyne
lien,
Combien et toi, mon
mignon, et combien
Tes flancs
jumeaux
folâtrement j’honore.
Ni ce
beau
chef,
ni ces yeux,
ni ce front,
Ni ce
doux
ris,
ni cette main
qui fond
Mon cœur
en source,
et de pleurs
me fait riche :
Ne me sauraient de leur
beau
contenter,
Sans espérer quelquefois de tâter
Ton paradis,
où mon plaisir
se niche.
Petit
nombril,
que mon penser
adore,
Non pas mon œil,
qui n’eut oncques ce
bien,
Nombril
de qui l’honneur
mérite bien,
Qu’une
grand’
ville
on lui bâtisse encore.
Signe
divin,
qui divinement ore
Retiens encor l’Androgyne
lien,
Combien et toi, mon
mignon, et combien
Tes flancs
jumeaux
folâtrement j’honore.
Ni ce
beau
chef,
ni ces yeux,
ni ce front,
Ni ce
doux
ris,
ni cette main
qui fond
Mon cœur
en source,
et de pleurs
me fait riche :
Ne me sauraient de leur
beau
contenter,
Sans espérer quelquefois de tâter
Ton paradis,
où mon plaisir
se niche.
En ligne le
27/04/17.
Dernière révision le 06/07/22.