Tant de couleurs le grand arc ne varie
Contre le front du Soleil radieux,
Lorsque Junon, par un temps
pluvieux,
Renverse l’eau
dont sa mère est nourrie.
Ni Jupiter armant sa main marrie
En tant d’éclairs
ne fait rougir les cieux,
Lorsqu’il punit
d’un foudre
audacieux
Les monts d’Épire,
ou l’orgueil de
Carie.
Ni le Soleil ne rayonne si
beau,
Quand au matin il nous montre un flambeau,
Pur, net,
et clair, comme je vis ma
Dame.
De cent couleurs son visage
accoutrer,
Flamber ses yeux, et claire
se montrer,
Le premier jour qu’elle
ravit mon âme.
TAnt
de couleurs le grand arc ne varie
Contre le front du Soleil radieux,
Lorsque Junon, par un temps
pluvieux,
Renverse l’eau
dont sa mère est nourrie.
Ni Jupiter armant sa main marrie
En tant d’éclairs
ne fait rougir les cieux,
Lorsqu’il punit
d’un foudre
audacieux
Les monts d’Épire, ou l’orgueil
de Carie.
Ni
le Soleil ne rayonne si beau,
Quand au matin il nous montre un flambeau
Pur, net,
et clair, comme je vis ma
Dame
Diversement
son visage accoutrer,
Flamber ses yeux, et claire
se montrer,
Le premier jour qu’elle
ravit mon âme.
TAnt de couleurs
l’arc-en-ciel
ne varie
Contre le front du
Soleil
radieux,
Lorsque
Iunon,
par un temps pluvieux,
Renverse
l’eau dont sa
mère est nourrie.
Ni
Jupiter armant sa main
marrie
En tant
d’éclairs
ne fait rougir les cieux,
Lorsqu’il
punit d’un foudre
audacieux
Les monts
d’Épire, ou l’orgueil
de Carie.
Ni
le Soleil ne
rayonne si beau,
Quand au matin il nous
montre un flambeau
Pur,
net, et
clair,
comme je vis ma dame
Diversement
son visage accoutrer,
Flamber ses
yeux, et
claire se montrer,
Le premier jour
qu’elle ravit mon
âme.
TAnt
de couleurs l’arc-en-ciel
ne varie
Contre le front du Soleil radieux,
Lorsque Junon par un temps pluvieux,
Renverse l’eau
dont la terre est
nourrie.
Ni Jupiter armant sa main marrie
En tant d’éclairs
ne fait rougir les cieux,
Lorsqu’il punit
d’un foudre
audacieux
Les monts d’Épire, ou l’orgueil
de Carie.
Ni le Soleil ne rayonne si
beau,
Quand au matin il nous montre un flambeau
Pur, net,
et clair, comme je vis ma
Dame
Diversement
son visage accoutrer,
Flamber ses yeux, et claire
se montrer,
Le premier jour qu’elle
ravit mon âme.
TAnt
de couleurs l’Arc-en-ciel ne varie
Contre le front du Soleil radieux,
Lorsque Junon par un temps pluvieux
Renverse l’eau
dont la terre
est nourrie :
Ni Jupiter armant sa main marrie
En tant d’éclairs
ne fait rougir les
cieux,
Lorsqu’il punit
d’un foudre
audacieux
Les monts d’Épire,
ou l’orgueil de
Carie :
Ni le Soleil ne rayonne si
beau,
Quand au matin il nous montre un flambeau
Tout crépu
d’or, comme je vis ma
Dame
Diversement
son visage accoutrer,
Flamber ses yeux, et claire
se montrer,
Le premier jour qu’elle
ravit mon âme.
TAnt
de couleurs le grand arc ne varie
Contre le front du Soleil radieux,
Lorsque Junon, par un temps
pluvieux,
Renverse l’eau
dont sa mère est nourrie.
Ni Jupiter armant sa main marrie
En tant d’éclairs
ne fait rougir les cieux,
Lorsqu’il punit
d’un foudre
audacieux
Les monts d’Épire, ou l’orgueil
de Carie.
Ni
le Soleil ne rayonne si beau,
Quand au matin il nous montre un flambeau
Pur, net,
et clair, comme je vis ma
Dame
Diversement
son visage accoutrer,
Flamber ses yeux, et claire
se montrer,
Le premier jour qu’elle
ravit mon âme.
TAnt de couleurs
l’arc-en-ciel
ne varie
Contre le front du
Soleil
radieux,
Lorsque
Iunon,
par un temps pluvieux,
Renverse
l’eau dont sa
mère est nourrie.
Ni
Jupiter armant sa main
marrie
En tant
d’éclairs
ne fait rougir les cieux,
Lorsqu’il
punit d’un foudre
audacieux
Les monts
d’Épire, ou l’orgueil
de Carie.
Ni
le Soleil ne
rayonne si beau,
Quand au matin il nous
montre un flambeau
Pur,
net, et
clair,
comme je vis ma dame
Diversement
son visage accoutrer,
Flamber ses
yeux, et
claire se montrer,
Le premier jour
qu’elle ravit mon
âme.
TAnt
de couleurs l’arc-en-ciel
ne varie
Contre le front du Soleil radieux,
Lorsque Junon par un temps pluvieux,
Renverse l’eau
dont la terre est
nourrie.
Ni Jupiter armant sa main marrie
En tant d’éclairs
ne fait rougir les cieux,
Lorsqu’il punit
d’un foudre
audacieux
Les monts d’Épire, ou l’orgueil
de Carie.
Ni le Soleil ne rayonne si
beau,
Quand au matin il nous montre un flambeau
Pur, net,
et clair, comme je vis ma
Dame
Diversement
son visage accoutrer,
Flamber ses yeux, et claire
se montrer,
Le premier jour qu’elle
ravit mon âme.
TAnt
de couleurs l’Arc-en-ciel ne varie
Contre le front du Soleil radieux,
Lorsque Junon par un temps pluvieux
Renverse l’eau
dont la terre
est nourrie :
Ni Jupiter armant sa main marrie
En tant d’éclairs
ne fait rougir les
cieux,
Lorsqu’il punit
d’un foudre
audacieux
Les monts d’Épire,
ou l’orgueil de
Carie :
Ni le Soleil ne rayonne si
beau,
Quand au matin il nous montre un flambeau
Tout crépu
d’or, comme je vis ma
Dame
Diversement
son visage accoutrer,
Flamber ses yeux, et claire
se montrer,
Le premier jour qu’elle
ravit mon âme.
TAnt de couleurs l’Arc-en-ciel ne varie
Contre le front du Soleil radieux,
Lorsque Junon par un temps pluvieux
Renverse l’eau
dont la terre
est nourrie :
Ni Jupiter armant sa main marrie
En tant d’éclairs
ne fait rougir les cieux,
Lorsqu’il punit
d’un foudre
audacieux
Les monts d’Épire,
ou l’orgueil de
Carie :
Ni le Soleil ne rayonne si beau,
Quand au matin il nous montre un flambeau
Tout crépu
d’or,
comme je vis ma Dame
Diversement
ses beautés
accoutrer,
Flamber ses yeux, et claire se montrer,
Le premier jour qu’elle
enchanta mon âme.
textes
modernisés
[R]
En ligne le
04/04/18.
Dernière révision le 25/01/25.