TOujours
au plain
des champs
ne tombe le malheur
Toujours Cérès
ne perd ses cheveux
aux campagnes
Toujours n’est foudroyé le
pampre
des montagnes
Et toujours l’arbre
n’est dépouillé de sa
fleur.
Toujours
Palès
ne perd dans
les prés
sa couleur
Toujours ne ment le gland
les mois
ni les châtaignes
Toujours ne vient le loup
aux
camuses
compagnes
Et toujours n’est sur
pied
le meurtrier
ou voleur.
Toujours l’apparilleur la
grange
ne dépouille
Le gendarme
toujours dans le coffre
ne fouille
Et toujours
l’usurier
ne tient son parchemin.
Bref en tous
temps
le ciel
ne darde sur la tête
Du
simple
villageois
son feu
ni sa tempête
Et en tout temps
le mal
ne le guette au chemin.
TOujours
au plain
des champs
ne tombe le malheur
Toujours Cérès
ne perd ses cheveux
aux campagnes
Toujours n’est foudroyé le
pampre
des montagnes
Et toujours l’arbre
n’est dépouillé de sa
fleur.
Toujours
Palès
ne perd dans
les prés
sa couleur
Toujours ne ment le gland
les mois
ni les châtaignes
Toujours ne vient le loup
aux
camuses
compagnes
Et toujours n’est sur
pied
le meurtrier
ou voleur.
Toujours l’apparilleur la
grange
ne dépouille
Le gendarme
toujours dans le coffre
ne fouille
Et toujours
l’usurier
ne tient son parchemin.
Bref en tous
temps
le ciel
ne darde sur la tête
Du
simple
villageois
son feu
ni sa tempête
Et en tout temps
le mal
ne le guette au chemin.
En ligne le
26/06/08.
Dernière révision le 17/05/21.