Ore de
mal
en bien
se veut tourner la
chance,
Qui par un trop
long
temps
a duré contre moi :
Il faut une autre fois essayer si ma
foi
Pourrait bien rencontrer
heureuse
récompense.
Toujours la
mer
grondant
contre un vaisseau ne tance :
L’air
serein
du fort
temps
chasse le
triste
effroi,
Et le Printemps
l’Hiver :
le retour
doux
et coi
De l’amiable
paix
suit des guerres
l’outrance.
Toujours le
flot
contraire à ma nef
ne sera,
Mais bientôt un
bon
vent
ses voiles
enflera,
Qui la fera surgir à son
port
désirable.
Tel
doux
espoir
me vient de la
gaye
douceur,
Qui me rit favorable en cet
œil
ravisseur,
De vivre autant heureux qu’ai vécu
misérable.
Ore
de mal
en bien
se veut tourner la
chance,
Qui par un trop
long
temps
a duré contre moi :
Il faut une autre fois
essayer si ma foi
Pourrait bien rencontrer
heureuse
récompense.
Toujours
la mer
grondant
contre un vaisseau ne tance :
L’air
serein
du fort
temps
chasse le
triste
effroi,
Et le
Printemps
l’Hiver :
le retour
doux
et coi
De
l’amiable
paix
suit des guerres
l’outrance.
Toujours
le flot
contraire à ma nef
ne sera,
Mais bientôt un
bon
vent
ses voiles
enflera,
Qui la fera surgir
à son port
désirable.
Tel
doux
espoir
me vient de la
gaye
douceur,
Qui me rit favorable en cet
œil
ravisseur,
De vivre autant heureux
qu’ai vécu misérable.
En ligne le
30/04/11.
Dernière révision le 12/08/21.