Après avoir,
PASCHAL, d’une
savante
main
Rempli de cent discours ton
histoire
immortelle,
Ornant notre
grand
Roi
d’une gloire
aussi
belle,
Que celle
d’Alexandre,
et du jeune
Africain.
Vois je te pri’,
PASCHAL, de quel
trait
inhumain
Amour
fait en mon cœur
une plaie
nouvelle,
Et de quelle chanson
je célèbre la
belle
Qui me tient langoureux sur ce
fleuve
Romain.
De
jour
en jour
je change et de poil
et de face,
Mais Amour
dedans moi ne change point de
place,
Ains me navre toujours des
rais
de deux
beaux
yeux.
Je suis du tout à lui, et
n’ai rien en moi-même,
Mais quoi ? c’est mon
destin,
et plutôt que je n’aime
La mer
sera sans eaux
et sans astres
les cieux.
Après avoir,
PASCHAL, d’une
savante
main
Rempli de cent discours ton
histoire
immortelle,
Ornant notre
grand
Roi
d’une gloire
aussi
belle,
Que celle
d’Alexandre,
et du jeune
Africain.
Vois je te pri’,
PASCHAL, de quel
trait
inhumain
Amour
fait en mon cœur
une plaie
nouvelle,
Et de quelle chanson
je célèbre la
belle
Qui me tient langoureux sur ce
fleuve
Romain.
De
jour
en jour
je change et de poil
et de face,
Mais Amour
dedans moi ne change point de
place,
Ains me navre toujours des
rais
de deux
beaux
yeux.
Je suis du tout à lui, et
n’ai rien en moi-même,
Mais quoi ? c’est mon
destin,
et plutôt que je n’aime
La mer
sera sans eaux
et sans astres
les cieux.
En ligne le
24/06/15.
Dernière révision le 23/07/21.