Toujours
la peste
aux Grecs
ne décoche Apollon,
Quelquefois il s’ébat à sonner de la
lyre,
Quelquefois sur la mer
bon
vent
a le navire
Et toujours ne court pas un
orage
félon,
Toujours
l’honneur
des champs
ne dépouille
Aquilon,
Quelquefois un printemps
nous ramène
Zéphire,
Toujours ne tonne pas aux
montagnes
d’Épire,
Et quelquefois le ciel
est sans nul tourbillon.
Les deux
frères
jumeaux
l’un après l’autre vivent,
Et les saisons
de l’an
par ordre
s’entresuivent
Comme le
clair
jour
suit la
ténébreuse
nuit :
Bref
toute chose au
monde
ou se change ou se passe,
Si ce n’est le
malheur
qu’un Rousseau me pourchasse
Qui toujours sans repos
me tourmente et me suit.
Toujours
la peste
aux Grecs
ne décoche Apollon,
Quelquefois il s’ébat à sonner de la
lyre,
Quelquefois sur la mer
bon
vent
a le navire
Et toujours ne court pas un
orage
félon,
Toujours
l’honneur
des champs
ne dépouille
Aquilon,
Quelquefois un printemps
nous ramène
Zéphire,
Toujours ne tonne pas aux
montagnes
d’Épire,
Et quelquefois le ciel
est sans nul tourbillon.
Les deux
frères
jumeaux
l’un après l’autre vivent,
Et les saisons
de l’an
par ordre
s’entresuivent
Comme le
clair
jour
suit la
ténébreuse
nuit :
Bref
toute chose au
monde
ou se change ou se passe,
Si ce n’est le
malheur
qu’un Rousseau me pourchasse
Qui toujours sans repos
me tourmente et me suit.
En ligne le 16/10/21.
Dernière révision le 06/01/22.