CE
Dragon
boursouflé,
Empereur
de la mort,
Me pourchassant à
mort
par une
injuste
envie,
Dans la mer
de la mort
fit abîmer ma
vie,
Qui submergeait les sens de mon
cœur
déjà
mort,
Quand le
Christ
mon époux
par une mort
qui mord
Le péché,
qui la mort
à me meurtrir convie,
Mordit jusqu’à la
mort
la mort
par mort
suivie,
Mettant à mort
ma mort
et mon péché
plus ord.
Sa
mort
donc a meurtri ma
noire
mort
mortelle,
Sa mort
donne la mort
et la vie
immortelle
À ma chair,
qui sous mort
sans cette mort
gisait.
Ainsi ma
mort
vaut mieux que ma
vie
insolente,
Qui meurtrissait ma chair
d’une
mort
violente,
Qui sans Christ
tout le monde
à son gré maîtrisait.
CE
Dragon
boursouflé,
Empereur
de la mort,
Me pourchassant à
mort
par une
injuste
envie,
Dans la mer
de la mort
fit abîmer ma
vie,
Qui submergeait les sens de mon
cœur
déjà
mort,
Quand le
Christ
mon époux
par une mort
qui mord
Le péché,
qui la mort
à me meurtrir convie,
Mordit jusqu’à la
mort
la mort
par mort
suivie,
Mettant à mort
ma mort
et mon péché
plus ord.
Sa
mort
donc a meurtri ma
noire
mort
mortelle,
Sa mort
donne la mort
et la vie
immortelle
À ma chair,
qui sous mort
sans cette mort
gisait.
Ainsi ma
mort
vaut mieux que ma
vie
insolente,
Qui meurtrissait ma chair
d’une
mort
violente,
Qui sans Christ
tout le monde
à son gré maîtrisait.
En ligne le
09/10/05,
versé dans l’anthologie des antonomases le
23/08/21.
Dernière révision le 05/01/24.