Ni
le refus
des Nymphettes
craintives,
Ni le pourchas des Satyres
pelus,
Ni la fraîcheur
des verts
bois
chevelus,
Ni la fierté
des bêtes
fugitives.
Ni le
tapis
des printanières
rives,
Ni la grosseur des
hauts
monts
bosselus,
Ni le séjour
des antres
mousselus,
Ni le cristal
des fontaines
plus vives.
Ni le
jargon
des jasards
Oisillons,
Ni le trésor
des blondoyants
sillons,
Ni l’appareil
d’une pompe
suivie.
Non des
grands
Rois
la Cour,
l’aise,
ni l’heur,
Ne m’éjouit : ayant perdu la
Fleur
Pour qui je suis et sans âme,
et sans vie !
Ni
le refus
des Nymphettes
craintives,
Ni le pourchas des Satyres
pelus,
Ni la fraîcheur
des verts
bois
chevelus,
Ni la fierté
des bêtes
fugitives.
Ni le
tapis
des printanières
rives,
Ni la grosseur des
hauts
monts
bosselus,
Ni le séjour
des antres
mousselus,
Ni le cristal
des fontaines
plus vives.
Ni le
jargon
des jasards
Oisillons,
Ni le trésor
des blondoyants
sillons,
Ni l’appareil
d’une pompe
suivie.
Non des
grands
Rois
la Cour,
l’aise,
ni l’heur,
Ne m’éjouit : ayant perdu la
Fleur
Pour qui je suis et sans âme,
et sans vie !
En ligne le
15/02/08.
Dernière révision le 16/04/22.