Ta
beauté,
ta vertu,
et ta grâce
excellente,
Où Vénus,
où Pallas,
où Thalie
a enclos
Sa grandeur,
son savoir, et son maintien
dispos,
Sur le front,
au cerveau,
en la face
riante.
D’un clin
d’œil,
d’un parler
et d’une flamme
lente,
A navré, a ravi et brûlé sans
repos,
Mon cœur
et mon esprit
et le fond de mes os,
Appâté, pris, serré d’une
amour
violente.
Las ! que
n’étais-je
aveugle,
et fol
et sans souci,
Pour ne voir, n’admirer, et ne garder aussi
Ce qui me cuit, me nuit et me rend
misérable.
Mes
regards,
mes pensers,
et l’aigu de
mes sens
Causent le mal,
la force,
et l’ardeur
que je sens,
À t’aimer, prendre, avoir
belle,
sage,
admirable.
Ta
beauté,
ta vertu,
et ta grâce
excellente,
Où
Vénus,
où Pallas,
où Thalie a enclos
Sa
grandeur,
son savoir, et son
maintien
dispos,
Sur le
front,
au cerveau,
en la face
riante.
D’un
clin d’œil,
d’un
parler
et d’une
flamme
lente,
A
navré, a ravi et
brûlé sans
repos,
Mon
cœur
et mon esprit
et le fond de mes os,
Appâté,
pris, serré
d’une
amour
violente.
Las !
que n’étais-je
aveugle,
et fol
et sans souci,
Pour ne
voir,
n’admirer, et ne garder aussi
Ce qui me
cuit, me nuit et me rend
misérable.
Mes
regards,
mes pensers,
et l’aigu
de mes sens
Causent le
mal,
la force,
et l’ardeur
que je sens,
À
t’aimer,
prendre, avoir
belle,
sage,
admirable.
En ligne le
20/05/05.
Dernière révision le 24/04/24.