Beauté
céleste
en une Fille
humaine,
Un vif
esprit
de sagesse
pourvu,
Un
brillant
œil,
où mon Tyran
j’ai vu,
Un ris
mignard
qui l’âme
aux Astres
mène.
Une
vertu
divinement
hautaine,
Un doux
refus
à qui j’offre maint
vœu,
Une fierté
qu’on sert à son
aveu,
Et qui mes yeux
fait sourcer en fontaine.
Un
sein
ému
d’un
animé
soupir,
Un chant
qui peut toute peine
assoupir,
Une main
propre à ravir les
pensées.
Un
vain
espoir,
un
emmiellé
parler,
Un grave
port,
un pas
ferme
au baler :
Ont par destin
mes amours
commencées.
Beauté
céleste
en une Fille
humaine,
Un vif
esprit
de sagesse
pourvu,
Un
brillant
œil,
où mon Tyran
j’ai vu,
Un ris
mignard
qui l’âme
aux Astres
mène.
Une
vertu
divinement
hautaine,
Un doux
refus
à qui j’offre maint
vœu,
Une fierté
qu’on sert à son
aveu,
Et qui mes yeux
fait sourcer en fontaine.
Un
sein
ému
d’un
animé
soupir,
Un chant
qui peut toute peine
assoupir,
Une main
propre à ravir les
pensées.
Un
vain
espoir,
un
emmiellé
parler,
Un grave
port,
un pas
ferme
au baler :
Ont par destin
mes amours
commencées.
En ligne le
27/11/16.
Dernière révision le 21/02/22.