anaphore
de « ô »
(vers 1 à 12)
Ô
ris
comblé de douceur
ensucrée,
Ô
blonds
cheveux
mignonnement
retors,
Ô front
d’Ivoire,
ô
puissants
yeux
accorts,
Ô joue
fraîche
à l’Amour
consacrée !
Ô
beau
corail
de bouchette
pourprée,
Ô col
de neige :
ô tremblotants
efforts
Qu’un
ferme
sein,
qui force les plus forts,
Soupire ainsi qu’un
Zéphyr
par la prée.
Ô
doigts
de rose,
ô
courtois
entretien,
Ô cœur
gentil,
ô
fier-humble
maintien,
Ô
doux
parler,
ô honte
blandissante.
Ô
rare
objet, ô grâce
qui m’absous :
Je meurs de quoi vos
grands
beautés
j’absente,
Mais je revis lorsque je pense à vous !
Ô
ris
comblé de douceur
ensucrée,
Ô
blonds
cheveux
mignonnement
retors,
Ô front
d’Ivoire,
ô
puissants
yeux
accorts,
Ô joue
fraîche
à l’Amour
consacrée !
Ô
beau
corail
de bouchette
pourprée,
Ô col
de neige :
ô tremblotants
efforts
Qu’un
ferme
sein,
qui force les plus forts,
Soupire ainsi qu’un
Zéphyr
par la prée.
Ô
doigts
de rose,
ô
courtois
entretien,
Ô cœur
gentil,
ô
fier-humble
maintien,
Ô
doux
parler,
ô honte
blandissante.
Ô
rare
objet, ô grâce
qui m’absous :
Je meurs de quoi vos
grands
beautés
j’absente,
Mais je revis lorsque je pense à vous !
En ligne le
30/09/15.
Dernière révision le 17/12/23.