Tu
me surpris, tu me pus enflammer,
Et vins encor navrer mon
cœur
rebelle :
Toi ma
gentille,
et
chaste
Colombelle,
Dont le secours
je n’ose réclamer !
Le
nœud,
la flamme,
et le trait
doux-amer,
M’étreint, m’ard,
m’outre : et pour toi,
Nymphe
belle,
Amour
subtil
brise, couvre, plombelle,
Lacs,
feu,
garrot,
pour ne point t’entamer.
En mes
tourments
ceci me réconforte
Qu’un lien
fort,
brasier
fort,
flèche
forte,
Me serre pris, chaud m’ard, blessé
m’époint.
Las ! un ou deux n’ont
esclavé ma
vie,
Trois Ennemis
la tiennent asservie !
Seul contre trois, je ne résiste point.
Tu
me surpris, tu me pus enflammer,
Et vins encor navrer mon
cœur
rebelle :
Toi ma
gentille,
et
chaste
Colombelle,
Dont le secours
je n’ose réclamer !
Le
nœud,
la flamme,
et le trait
doux-amer,
M’étreint, m’ard,
m’outre : et pour toi,
Nymphe
belle,
Amour
subtil
brise, couvre, plombelle,
Lacs,
feu,
garrot,
pour ne point t’entamer.
En mes
tourments
ceci me réconforte
Qu’un lien
fort,
brasier
fort,
flèche
forte,
Me serre pris, chaud m’ard, blessé
m’époint.
Las ! un ou deux n’ont
esclavé ma
vie,
Trois Ennemis
la tiennent asservie !
Seul contre trois, je ne résiste point.
En ligne le
08/05/18.
Dernière révision le 20/02/22.