Heureux
qui voit ma
gentille
Maîtresse,
Ces yeux
divins,
ce blond
poil
crêpelu !
Et ce
haut
front
des Grâces
même élu
Pour un miroir
d’amour,
et d’allégresse !
Heureux qui voit sa
lèvre
charmeresse,
Lorsqu’elle rit : ce
menton
fosselu,
Ce double
Ivoire
en rondeur
pommelu,
Ce port
Royal,
et son
humble
caresse.
Heureux qui voit sa charnure, et sa
peau :
Peau,
non ! ains Jaspe
et délicat,
et beau,
Qui joue,
et mains,
grassettement décore.
Mais plus heureux
l’Époux
cent fois sera
Qui jeune, et gai, la Nymphe
embrassera
Que le Ciel
aime, et que la Terre
adore.
Heureux
qui voit ma
gentille
Maîtresse,
Ces yeux
divins,
ce blond
poil
crêpelu !
Et ce
haut
front
des Grâces
même élu
Pour un miroir
d’amour,
et d’alegresse !
Heureux qui voit sa
lèvre
charmeresse,
Lorsqu’elle rit :
ce menton
fosselu,
Ce double
Ivoire
en rondeur
pommelu,
Ce port
Royal,
et son humble
caresse.
Heureux qui voit sa charnure, et sa
peau :
Peau,
non ! ains Jaspe
et délicat,
et beau,
Qui joue,
et mains,
grassettement décore.
Mais plus heureux
l’Époux
cent fois sera
Qui jeune, et gai, la Nymphe
embrassera
Que le Ciel
aime, et que la Terre
adore.
En ligne le
04/12/11.
Dernière révision le 05/12/21.