Œil
de Phébus,
de Phébé,
de l’Aurore,
Qui en son rond
brûle, pâlit, décore,
Midi,
minuit,
l’entrée du
Soleil :
Ses
feux,
son teint,
l’honneur
de son réveil,
Voudrait cacher, brunir, et tenir ore,
Voyant le feu,
qui ard, blanchit, honore,
Ton jour,
ta nuit,
et la fin du sommeil.
Phébus
alors que plus le ciel
allume,
N’est point si beau qu’on le voit par ta
plume,
Phébé
n’est point, ni
l’Aube
belle ainsi.
Ô
peintre
heureux !
mais plus qu’Ange !
qui ores
As bien tant pu, que même tu colores
Le Soleil
mieux, la Lune,
et l’Aube
aussi.
LE flamboyant, l’argentin, le vermeil,
Œil
de Phébus,
de Phébé, de l’Aurore,
Qui en son rond
brûle,
pâlit,
décore,
Midi,
minuit,
l’entrée
du Soleil :
Ses
feux,
son teint, l’honneur
de son réveil,
Voudrait cacher,
brunir, et tenir
ore,
Voyant le feu, qui ard,
blanchit,
honore,
Ton jour,
ta nuit,
et la fin du sommeil.
Phébus
alors que plus le ciel
allume,
N’est point si
beau qu’on le
voit par ta
plume,
Phébé
n’est
point, ni
l’Aube
belle ainsi.
Ô
peintre
heureux !
mais plus qu’Ange !
qui ores
As bien tant pu, que
même tu colores
Le Soleil
mieux, la
Lune, et l’Aube
aussi.
En ligne le
27/11/25.
Dernière révision le 27/11/25.