Voûte
élevée
au milieu de deux flancs
En sa blancheur
imitant la jonchée,
Ou bien plutôt celle
pierre
arrachée
En son
paros
de ses os
les plus
blancs,
Que deux
piliers
tout
ronds
s’entresemblant,
Portent le front
de sa face
penchée,
Laquelle un peu de mousse
d’or
cachée,
Les yeux
aveugle, et rend les sens tremblants.
Je n’oserais consentir
à
l’envie
De voir ton moins
qui fait languir ma
vie,
Peur
d’éprouver le
malheur
de ce cerf
Qui fut jadis Métamorphose
étrange,
Ma vie
assez me montre d’être
serf
Sans que l’Amour
en un autre me change.
Voûte
élevée
au milieu de deux flancs
En sa
blancheur
imitant la jonchée,
Ou bien plutôt
celle pierre
arrachée
En son
paros
de ses os
les plus
blancs,
Que
deux piliers
tout
ronds
s’entresemblant,
Portent le
front
de sa face
penchée,
Laquelle un peu de
mousse
d’or
cachée,
Les
yeux
aveugle, et rend les sens
tremblants.
Je
n’oserais
consentir à
l’envie
De voir ton
moins
qui fait languir ma
vie,
Peur
d’éprouver
le malheur
de ce cerf
Qui
fut jadis Métamorphose
étrange,
Ma
vie
assez me montre d’être
serf
Sans que
l’Amour en un autre me
change.
En ligne le
21/07/17.
Dernière révision le 03/11/24.