anaphore du
démonstratif
(vers 1 à 9)
Cet
œil
riant,
cette bouche
vermeille,
Ce ris
mignard,
cet
eloquent
parler,
Ce teinct
qu’on peut à la
rose
esgaler,
Ce poil
brunet,
ce petit
bout
d’oreille,
Ce
col
de laict,
cette
double
merueille
De ce
beau
sein,
ce
gracieux
aller,
Ce port
qui peut Iupin
mesme affoller,
Ce front
de lyz,
cette ame
sans pareille,
Ce
bel
Esprit,
ce vif
Entendement,
Dont renaistroit
Pallas
secondement,
Ont tant versé de
flames
en mon ame,
Que sans les
pleurs
qui sortent sans
repos
Hors de mes yeux,
dés long temps
Atropos
En leur ardeur
eust consommé ma trame.
Cet
œil
riant,
cette bouche
vermeille,
Ce ris
mignard, cet
eloquent
parler,
Ce teinct
qu’on peut
à la roſe
eſgaler,
Ce poil
brunet,
ce petit
bout
d’oreille,
Ce
col
de laict, cette
double
merueille
De ce
beau
ſein, ce
gracieux
aller,
Ce port
qui peut Iupin
meſme affoller,
Ce front
de lyz,
cette ame
ſans pareille,
Ce
bel
Eſprit,
ce vif
Entendement,
Dont renaiſtroit
Pallas
ſecondement,
Ont tant verſé de
flames
en mon ame,
Que ſans les
pleurs
qui ſortent ſans
repos
Hors de mes yeux, dés long temps
Atropos
En leur ardeur
euſt conſommé ma trame.
En ligne le
20/10/24.
Dernière révision le 20/10/24.