Ces
sourcils
ébénins,
cette
belle
voûture
Entourant à demi vos deux
beaux
yeux,
mes rois,
Façonnés joliment des
industrieux
doigts
Et de l’art
le plus
beau
de la
docte
Nature,
Ces cerceaux
raccourcis
en égale cambrure
Couverts d’un
beau
poil
brun
plus
mignon
mille fois
Que n’est
l’arc
emperlé
que la mère
des mois
À son
nouveau
retour
dedans le ciel
figure :
Retiennent la
façon
et la demi-rondeur
Des cercles
que le ciel
enclot en sa
grandeur,
Mi-partis en deux
arcs
d’un trait
qui les divise :
Aussi quand de plus près je
les veux regarder,
Je dis qu’il ne faut plus craindre à me hasarder
Car l’arc
d’Amour
froissé
me semble que j’avise.
Ces
sourcils
ébénins,
cette
belle
voûture
Entourant à demi vos deux
beaux
yeux,
mes rois,
Façonnés joliment des
industrieux
doigts
Et de l’art
le plus
beau
de la
docte
Nature,
Ces cerceaux
raccourcis
en égale cambrure
Couverts d’un
beau
poil
brun
plus
mignon
mille fois
Que n’est
l’arc
emperlé
que la mère
des mois
À son
nouveau
retour
dedans le ciel
figure :
Retiennent la
façon
et la demi-rondeur
Des cercles
que le ciel
enclot en sa
grandeur,
Mi-partis en deux
arcs
d’un trait
qui les divise :
Aussi quand de plus près je
les veux regarder,
Je dis qu’il ne faut plus craindre à me hasarder
Car l’arc
d’Amour
froissé
me semble que j’avise.
En ligne le
23/05/18.
Dernière révision le 17/12/23.