Le
fort
sommeil,
que
céleste
on doit croire,
Plus
doux
que miel,
coulait aux yeux
lassés
Lorsque d’Amour
les plaisirs
amassés
Entrent en moi par la
porte
d’ivoire.
J’avais lié ce
Col
de Marbre :
voire
Ce sein
d’albâtre
en mes bras
enlacés,
Non moins qu’on voit les
Ormes
embrassés
Du Cep
lascif,
au
fécond
bord
de Loire.
Amour
avait en mes
lasses
moelles
Dardé le trait
de ses flammes
cruelles,
Et l’âme
errait par ces lèvres
de roses.
Prête d’aller au
fleuve
oblivieux
Quand le réveil de mon
aise
envieux
Du doux
sommeil
a les portes
décloses.
Le
fort
sommeil,
que
céleste
on doit croire,
Plus
doux
que miel,
coulait aux yeux
lassés
Lorsque
d’Amour
les plaisirs
amassés
Entrent en moi par la
porte
d’ivoire.
J’avais
lié ce
Col
de Marbre : voire
Ce
sein
d’albâtre
en mes bras
enlacés,
Non moins qu’on
voit les Ormes embrassés
Du
Cep
lascif,
au
fécond
bord
de Loire.
Amour avait en mes
lasses
moelles
Dardé le
trait
de ses flammes
cruelles,
Et
l’âme
errait par ces lèvres
de roses.
Prête
d’aller au
fleuve
oblivieux
Quand le réveil
de mon
aise
envieux
Du
doux
sommeil
a les portes
décloses.
En ligne le
12/03/21.
Dernière révision le 12/03/21.