««« por­te »»»

« portes » ou « porte » dans :
Salel
1545
~ Et quant aux dons…
Du Bellay
1549
~ Le fort som­meil…
La Haye
1553
~ Petite porte…
Jean de La Taille
1573
~ Veux-tu doncques lais­ser…
Perrin
1574
~ Dessus le dos…
Le Saulx
1577
~ Comme on voit quel­que­fois… (Th., 90)
Pon­toux
1579
~ Vouloir m’épronne…
Blan­chon
1583
~ À tant de fleurs…
Joseph Du Chesne
1584
~ Ô Lèthe som­meil­leux…
Mar­beuf
1628
~ Oreilles la nature…

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Porte. Verrouil­lée, puis­sante, li­mi­naire, bar­rée, ferme ou fer­mante, che­vil­lée, en­close, fer­rée, cri­quante, gui­che­tée, cla­vière, en­crouil­le­tée.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 214r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_434]
(texte modernisé).

[Portier. Garde ou gar­dien.]

[Portier d’enfer. Cerbère.]

[Portier du ciel /-ières. Heures, Pape.]

[Voir aussi huis.]


 

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Porte. Verrouil­lee, puis­sante, li­mi­naire, bar­ree, ferme ou fer­mante, che­uil­lee, en­close, fer­ree, cri­quante, gui­che­tee, cla­uiere, en­crouil­le­tee.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 214r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_434]
(texte original).

[Portier. Garde ou gar­dien.]

[Portier d’enfer. Cerbere.]

[Portier du ciel /-ieres. Heures, Pape.]

[Voir aussi huis.]