Rien ne me plaît que sa
beauté
divine,
Que les rayons
de ses Astres
jumeaux,
Que la blancheur
de ses
petits
coteaux,
Que le
vermeil
de sa joue
rosine.
Rien ne me plaît que sa
gorge
albâtrine,
Que ses cheveux
auteurs de mes travaux,
Que le Nectar
de ses
doubles
coraux,
Que sa douceur,
que sa grâce
poupine.
Rien ne me plaît que son
parler
divin,
Que son
beau
teint,
que son front
ivoirin,
Que la vertu
qui la fait apparaître,
Rien ne me plaît que ma
captivité
Où plus je suis cruellement traité,
Plus j’y demeure, et plus j’y désire
être.
Rien ne me plaît que sa
beauté
divine,
Que les rayons
de ses Astres
jumeaux,
Que la blancheur
de ses
petits
coteaux,
Que le vermeil
de sa joue
rosine.
Rien ne me plaît que sa
gorge
albâtrine,
Que ses cheveux
auteurs de mes travaux,
Que le Nectar
de ses
doubles
coraux,
Que sa douceur,
que sa grâce
poupine.
Rien ne me plaît que son
parler
divin,
Que son
beau
teint,
que son front
ivoirin,
Que la vertu
qui la fait apparaître,
Rien ne me plaît que ma
captivité
Où plus je suis cruellement traité,
Plus j’y demeure, et plus j’y désire
être.
En ligne le
15/10/10.
Dernière révision le 28/10/21.