Jamais ne vint par la
voûte
étoilée
Avec tant d’yeux
le ciel
nous regarder,
Ni tant de fois ne lui força darder
Un
prompt
éclair
sa colère
celée,
Ni d’un
beau
vert
la terre
emmantelée,
De tant de fleurs
se plaît à se farder,
Ni tant on voit onder, et réonder,
En hauts
monts
d’eau
la grand’
plaine
salée,
Tant n’ont encor ses
rives
de sablons,
Tant l’été
chaud
n’a d’épis
mûrs,
et blonds,
Tant de raisins
ne présente
l’automne,
Que j’ai par vous de
détresses,
et maux,
Que j’ai
d’ennuis
(ô ma
douce
félonne !)
Et n’ai secours
soutenant tant
d’assauts.
Jamais ne vint par la
voûte
étoilée
Avec tant d’yeux
le ciel
nous regarder,
Ni tant de fois ne lui força darder
Un
prompt
éclair
sa colère
celée,
Ni d’un
beau
vert
la terre
emmantelée,
De tant de fleurs
se plaît à se farder,
Ni tant on voit onder, et réonder,
En hauts
monts
d’eau
la grand’
plaine
salée,
Tant n’ont encor ses
rives
de sablons,
Tant l’été
chaud
n’a d’épis
mûrs,
et blonds,
Tant de raisins
ne présente
l’automne,
Que j’ai par vous de
détresses,
et maux,
Que j’ai
d’ennuis
(ô ma
douce
félonne !)
Et n’ai secours
soutenant tant
d’assauts.
En ligne le
27/11/20.
Dernière révision le 27/11/22.