Autant
que l’Océan
de flots
froisse aux rivages,
Autant qu’on voit de
prés
en Cypre
verdoyants,
Autant que la Sicile
a d’épis
jaunoyants,
Et autant
qu’Érymanthe
a d’animaux sauvages.
Autant que
Circe
avait d’herbes
et de breuvages,
Autant que de ruisseaux
en Ide
gazouillants,
Autant qu’en notre
France
on voit d’hommes
vaillants,
Autant que la Touraine
apporte de fruitages :
Autant qu’on
voit au Ciel
de flambeaux
lumineux,
Autant qu’Amour
de traits,
autant qu’Etne
a de feux,
Autant que mon
grand
Roi
dompte de villes
fières,
Autant que sa
Clémence
attire de sujets,
Autant que le Soleil
a de divers objets,
Autant voit-on en vous de
beautés
singulières.
Autant que
l’Océan
de flots
froisse aux rivages,
Autant qu’on voit de
prés
en Cypre
verdoyants,
Autant que la Sicile
a d’épis
jaunoyants,
Et autant
qu’Érymanthe
a d’animaux sauvages.
Autant que
Circe
avait d’herbes
et de breuvages,
Autant que de ruisseaux
en Ide
gazouillants,
Autant qu’en notre
France
on voit d’hommes
vaillants,
Autant que la Touraine
apporte de fruitages :
Autant qu’on
voit au Ciel
de flambeaux
lumineux,
Autant qu’Amour
de traits,
autant qu’Etne
a de feux,
Autant que mon
grand
Roi
dompte de villes
fières,
Autant que sa
Clémence
attire de sujets,
Autant que le Soleil
a de divers objets,
Autant voit-on en vous de
beautés
singulières.
En ligne le
27/10/05.
Dernière révision le 09/12/23.