Les Épithètes
de Maurice de La Porte (1571)
Le Préam­bule des
innom­brables
««« ivraie »»»

« ivraie » dans :
Isaac Habert
1585
~ Tu as laissé ton Dieu…

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Ivraie. Noire, ziza­nieuse, dom­ma­geable, inu­tile, gre­nue, endor­mante, port’épi, gâte-fro­ment, eni­vrante, nui­sible, assou­pis­sante, humide.

L’Ivraie s’engendre des grains de fro­ment et d’Orge qui sont semés en lieu trop humide ou bien qui ont été putré­fiés et cor­rom­pus par trop grandes pluies en hiver.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 141v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_289]
(texte modernisé).

[Voir aussi blé, épi.]


 

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Iuraie ou Iuroie. Noire, ziza­nieuse, dom­ma­geable, inu­tile, gre­nue, endor­mante, port’espi, gaste-four­ment, eni­urante, nui­sible, assou­pis­sante, humide.

L’Iuraie s’engendre des grains de four­ment & d’Orge qui sont semez en lieu trop humide ou bien qui ont esté putre­fiés & cor­rom­pus par trop grandes pluies en hiuer.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 141v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_289]
(texte original).

[Voir aussi blé, espi.]

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