[…]
Je sçay bien, mon
Esprit,
que cest air,
& ceste onde,
Ceste Terre,
ce Feu,
ce Ciel
qui ceint le Monde,
Enfle, abysme, retient, brusle, estreint
tes desirs:
Tu vois ie ne sçay quoy de
plaisant, &
d’aymable,
Mais le dessus du Ciel
est bien plus estimable,
Et de
plaisans
amours,
& d’aymables
plaisirs.
Ces
Amours,
ces Plaisirs
dont les troupes
des Anges
Caressent du
grand
Dieu
les merueilles
estranges,
Aux accords
rapportez de leurs
diuerses
voix,
Sont bien d’autres
plaisirs,
amours
d’autre Nature
Ce que tu vois icy n’en est pas la
peinture,
Ne fust-ce rien sinon pource que tu le vois.
[…]
[…]
Je sçay bien, mon
Esprit,
que cest air,
& ceste onde,
Ceste Terre,
ce Feu,
ce Ciel
qui ceint le Monde,
Enfle, abysme, retient, brusle, estreint
tes desirs:
Tu vois ie ne sçay quoy de
plaisant, &
d’aymable,
Mais le dessus du Ciel
est bien plus estimable,
Et de
plaisans
amours,
et d’aymables
plaisirs.
Ces
Amours,
ces Plaisirs
dont les troupes
des Anges
Caressent du
grand
Dieu
les merueilles
estranges,
Aux accords
rapportez de leurs
diuerses
voix,
Sont bien d’autres
plaisirs,
amours
d’autre Nature
Ce que tu vois icy n’en est pas la
peinture,
Ne fust-ce rien sinon pource que tu le vois.
[…]
En ligne le
03/04/21.
Dernière révision le 04/02/23.