anaphore du
démonstratif
(vers 1-7)
CE
ris
plus doux
que l’œuvre
d’une abeille,
Ces doubles
lis
doublement argentés,
Ces diamants
à double
rang
plantés
Dans le corail
de sa bouche
vermeille,
Ce doux parler
qui les mourants éveille,
Ce chant
qui tient mes soucis
enchantés,
Et ces deux cieux
sur deux astres
entés,
De ma Déesse
annoncent la merveille.
Du beau jardin
de son printemps
riant,
Naît un parfum,
qui même l’orient
Embaumerait de ces douces haleines.
Et de là sort le charme
d’une voix,
Qui tout ravis fait sauteler les bois,
Planer les monts,
et montagner les plaines.
CE
ris
plus doux
que l’œuvre
d’une abeille,
Ces doubles
lis
doublement argentés,
Ces diamants
à double
rang
plantés
Dans le corail
de sa bouche
vermeille,
Ce doux parler
qui les mourants éveille,
Ce chant
qui tient mes soucis
enchantés,
Et ces deux cieux
sur deux astres
entés,
De ma Déesse
annoncent la merveille.
Du beau jardin
de son printemps
riant,
Naît un parfum,
qui même l’orient
Embaumerait de ces douces haleines.
Et de là sort le charme
d’une voix,
Qui tout ravis fait sauteler les bois,
Planer les monts,
et montagner les plaines.
En ligne le 03/09/06.
Dernière révision le 31/01/13.