Où prit
Jupin
cet heur resplendissant,
Où prit Vénus
cette grâce
riante,
Où prit Peithon
cette voix
attrayante,
Où prit Amour
ce regard
blandissant,
Où prit
Phébus
ce crêpeau jaunissant,
Où l’Aube
prit la perle
rosoyante,
Où prit Cérès
la toison
blondoyante,
Où prit Flora
ce tapis
fleurissant,
Où prit
Junon
cette
fière
richesse,
Où ce savoir prit la
chaste
déesse,
Où prit Diane
un lustre
si
luisant,
Où prit
Éol
la douceur
zéphyrine,
Mais où prit Mars
un orgueil
si
cuisant,
Pour pandorer
ta clarté
surdivine ?
Où prit
Jupin
cet heur resplendissant,
Où prit Vénus
cette grâce
riante,
Où prit Peithon
cette voix
attrayante,
Où prit Amour
ce regard
blandissant,
Où prit
Phébus
ce crêpeau jaunissant,
Où l’Aube
prit la perle
rosoyante,
Où prit Cérès
la toison
blondoyante,
Où prit Flora
ce tapis
fleurissant,
Où prit
Junon
cette
fière
richesse,
Où ce savoir prit la
chaste
déesse,
Où prit Diane
un lustre
si
luisant,
Où prit Éol
la douceur
zéphyrine,
Mais où prit Mars
un orgueil
si
cuisant,
Pour pandorer
ta clarté
surdivine ?
En ligne le
20/06/11.
Dernière révision le 20/02/22.