Amour
m’a mis comme un
but
à sa darde,
Et cire
au feu,
neige
au soleil
roué,
Au vent
nuée,
et suis tout
enroué
Criant merci,
Dame,
et n’y prenez garde.
Du
coup
mortel
de vos yeux
faut que j’arde,
Et tout mon temps
jusqu’ici j’ai joué.
Vous en riez, qui êtes le loué
Vent,
feu,
soleil
dont tel on me regarde.
Le
désir
feu,
un soleil
les regards,
Et vos yeux
sont à mon avis les
dards,
Par qui amour
m’éblouit, brûle et pique.
Le
beau
parler,
et le chant
angélique,
Les doux
esprits,
qui ma force
ont ravie,
Ce sont les vents,
devant qui fuit ma vie.
Amour
m’a mis comme un
but
à sa darde,
Et
cire
au feu,
neige
au soleil
roué,
Au
vent
nuée, et suis tout
enroué
Criant
merci,
Dame,
et n’y prenez
garde.
Du
coup
mortel
de vos yeux
faut que j’arde,
Et tout mon
temps
jusqu’ici
j’ai
joué.
Vous en
riez, qui êtes le
loué
Vent,
feu,
soleil
dont tel on me regarde.
Le
désir
feu,
un soleil
les regards,
Et vos
yeux
sont à mon avis les
dards,
Par qui
amour
m’éblouit, brûle et pique.
Le
beau
parler,
et le chant
angélique,
Les
doux
esprits,
qui ma force
ont ravie,
Ce sont les
vents,
devant qui fuit ma vie.
En ligne le
05/12/17.
Dernière révision le 16/04/24.