Quand
Laure
fait doucement émouvoir
Ce vert
Laurier,
et ses cheveux
dorés,
Lors mes esprits
vagues
et essorés
Sortent de moi pour un
grand
cas
savoir.
Pourras-tu onc, ô
noble
fleur,
avoir
Pareille au monde,
et autant d’honorer ?
Vrai
roi
des rois,
que devons adorer,
Fais-moi ma fin plutôt que d’elle voir.
Que je ne voie un tel
mal
non-pareil,
Ni demeurer ce monde
sans Soleil,
Ni mes deux yeux
sans l’unique
clarté.
Qu’autre ne peut mon
âme
réjouir,
Ni mon oreille
autre voix
peut ouïr,
Que les
beaux
dits de la même
beauté.
Quand
Laure fait doucement
émouvoir
Ce
vert
Laurier,
et ses cheveux
dorés,
Lors mes
esprits
vagues
et essorés
Sortent de moi pour un
grand
cas
savoir.
Pourras-tu
onc, ô
noble
fleur, avoir
Pareille au
monde,
et autant d’honorer ?
Vrai
roi
des rois,
que devons adorer,
Fais-moi ma fin
plutôt que d’elle
voir.
Que
je ne voie un tel mal
non-pareil,
Ni demeurer ce
monde
sans Soleil,
Ni mes deux
yeux
sans l’unique
clarté.
Qu’autre ne peut mon
âme
réjouir,
Ni mon
oreille
autre voix
peut ouïr,
Que les
beaux
dits de la même
beauté.
En ligne le
07/02/25.
Dernière révision le 07/02/25.