anaphore
de « et »
(vers 1-7)
Et ces
beaux
yeux,
et cette
aubine
joue,
Qui le matin
mort me va réveillant,
Et ce crin
d’or
crêpe
s’entortillant,
Par flots
ondés,
où Zéphyre
se joue,
Et l’emperlé
corail
que l’Inde
avoue
Dont le parler
me va émerveillant,
Et ce
beau
sein
doux mon cœur
chatouillant,
Où
l’honneur
saint,
et la chasteté
noue,
Bref ce
beau
tout qui mon
flanc
vint clouer,
Et qu’on ne peut suffisamment louer,
Sont les beautés
que les
hauts
Dieux influent :
Sont les
trésors
des cieux
de plus
grand
prix,
Sont les filets
las où je me vois pris,
Et les
doux
traits
qui rudement me tuent.
Et ces
beaux
yeux,
et cette
aubine
joue,
Qui le matin
mort me va réveillant,
Et ce crin
d’or
crêpe
s’entortillant,
Par flots
ondés,
où Zéphyre
se joue,
Et l’emperlé
corail
que l’Inde
avoue
Dont le parler
me va émerveillant,
Et ce
beau
sein
doux mon cœur
chatouillant,
Où
l’honneur
saint,
et la chasteté
noue,
Bref ce
beau
tout qui mon
flanc
vint clouer,
Et qu’on ne peut suffisamment louer,
Sont les beautés
que les
hauts
Dieux influent :
Sont les
trésors
des cieux
de plus
grand
prix,
Sont les filets
las où je me vois pris,
Et les
doux
traits
qui rudement me tuent.
En ligne le
14/10/18.
Dernière révision le 20/11/24.