COmme
l’Éclair
du Nord, qui fait lever
l’Aurore
En se couchant, éclaire entre tous les
flambeaux
Qui ajournent les
Cieux
de petits
feux
nouveaux
La nuit
qui de la terre
embellit le teint
more :
Comme le
demi-rond
de Phœbé,
qui colore
De ses rais
argentés
l’or
des Astres
plus
beaux,
Passe en son
Rond
Croissant,
sous qui croissent les
eaux,
La splendeur
des éclairs
que le pilote
adore.
Et
comme de
Phébus
les rayons
surdorés
Font honte
à
l’argent
vif
de Diane
aux beaux
rais
Délustrant son
teint
pâle
en sa perruque
blonde :
Ton
œil,
grâce,
et esprit
rare,
aimable,
et
parfait
Éclaire, passe, ahonte en ses
rais,
geste,
et fait
Tout ce qui est de
beau,
de bon,
d’honnête
au monde.
COmme
l’Éclair
du Nord, qui fait lever
l’Aurore
En se couchant, éclaire entre tous les
flambeaux
Qui ajournent les
Cieux
de petits
feux
nouveaux
La nuit
qui de la terre
embellit le teint
more :
Comme le
demi-rond
de Phœbé,
qui colore
De ses rais
argentés
l’or
des Astres
plus
beaux,
Passe en son
Rond
Croissant,
sous qui croissent les
eaux,
La splendeur
des éclairs
que le pilote
adore.
Et
comme de
Phébus
les rayons
surdorés
Font honte
à
l’argent
vif
de Diane
aux beaux
rais
Délustrant son
teint
pâle
en sa perruque
blonde :
Ton
œil,
grâce,
et esprit
rare,
aimable,
et
parfait
Éclaire, passe, ahonte en ses
rais,
geste,
et fait
Tout ce qui est de
beau,
de bon,
d’honnête
au monde.
En ligne le
30/09/23.
Dernière révision le 27/11/23.