LA
neige
n’est toujours sur le
chef
des montagnes,
La grêle
sans cesser ne fracasse les
toits,
La foudre
n’atteint pas toujours l’hôtel des
Rois,
L’eau
ne couvre en tout temps
la face
des campagnes.
Mais comme le
Soleil
des Indes
aux Espagnes,
Puis de l’Espagne,
à l’Inde,
et la mère
des mois
Vont et viennent par rang,
ne luisant à la fois,
La Prime
suit la Brumel’hiver,
et vont comme compagnes.
Le
mal
n’accourt en grêle
ainsi l’homme
assaillir,
Comme neige
l’ennui
ne fait son front
pâlir,
Et l’eau
d’angoisse
à mort
ne le noye sans cesse.
Mais comme toute chose a son
temps,
en saison
Bien nous vient après
mal.
Tout ainsi par raison
Après mon
juste
deuil
vient ma
sainte
liesse.
LA
neige
n’est toujours
sur le chef
des montagnes,
La grêle
sans cesser ne fracasse les
toits,
La foudre
n’atteint pas
toujours l’hôtel
des Rois,
L’eau
ne couvre en tout temps
la face
des campagnes.
Mais comme le
Soleil
des Indes
aux Espagnes,
Puis de l’Espagne,
à l’Inde,
et la mère
des mois
Vont et viennent par rang,
ne luisant à la fois,
La Prime
suit la Brumel’hiver,
et vont comme compagnes.
Le
mal
n’accourt en
grêle
ainsi l’homme
assaillir,
Comme neige
l’ennui
ne fait son front
pâlir,
Et l’eau
d’angoisse
à mort
ne le noye sans cesse.
Mais comme toute chose a son
temps,
en saison
Bien nous vient après
mal.
Tout ainsi par raison
Après mon
juste
deuil
vient ma
sainte
liesse.
En ligne le
14/09/23.
Dernière révision le 05/05/24.