disposition de la
recollection
(vers 1-8 → 12-13)
J’admire
l’or
ondé
de ton
chef
frisoté,
Ton beau
front
relevé
que la neige
colore,
Ton teint
blanc
et
vermeil
qui fait honte
à
l’Aurore,
Ta beauté
seul objet de mon
œil
enchanté.
Cette
vertu
j’admire et cette
chasteté,
Ce corail
soupirant
qui ton parler
décore,
Et ce Soleil
jumeau
qui le monde
redore
Et les Cieux
tournoyants
de sa
belle
clarté.
Les
Amours
de tes yeux,
de ton sein
les Charites
Ont tes traits,
tes regards
et tes beautés
écrites
Tellement dans mon
cœur,
que de nuit
et de jour
Au
poil,
au front,
au teint,
à la bouche
je pense,
Aux yeux
qui dessus moi versent leur
influence,
De ces
divins
pensers
je suis nourri
d’Amour.
J’admire
l’or
ondé
de ton
chef
frisoté,
Ton beau
front
relevé
que la neige
colore,
Ton teint
blanc
et
vermeil
qui fait honte
à
l’Aurore,
Ta beauté
seul objet de mon
œil
enchanté.
Cette
vertu
j’admire et cette
chasteté,
Ce corail
soupirant
qui ton parler
décore,
Et ce Soleil
jumeau
qui le monde
redore
Et les Cieux
tournoyants
de sa
belle
clarté.
Les
Amours
de tes yeux,
de ton sein
les Charites
Ont tes traits,
tes regards
et tes beautés
écrites
Tellement dans mon
cœur,
que de nuit
et de jour
Au
poil,
au front,
au teint,
à la bouche
je pense,
Aux yeux
qui dessus moi versent leur
influence,
De ces
divins
pensers
je suis nourri
d’Amour.
En ligne le
07/07/23.
Dernière révision le 09/09/23.